EMENTATION"Sur les 40 000 places en accueil collectif, environ les deux tiers sont des places nouvelles. Il en faudrait le double,sac hermes imitation kelly, selon l'UNAF. Le reste résulte de l'"optimisation" des places existantes. Celles-ci sont en moyenne occupées à 65 %, les enfants étant malades, gardés ponctuellement par leurs parents, etc. La pratique consiste à accepter plus d'enfants que la capacité théorique de la crèche.Les opposants dénoncent un "surbooking" des enfants. Et, plus globalement, parlent de "dégradation" et de "déréglementation" des conditions d'accueil. Le collectif Pas de bébés à la consigne dénonce la baisse du niveau de qualification des personnels,avis site sac hermes paris, le desserrement des normes (dans les maisons d'assistantes maternelles, les microcrèches), l'autorisation de garder un quatrième enfant pour les assistantes maternelles, et enfin la montée du privé.>Lire aussi : Comment le privé a réussi à percer dans le secteur des crèchesFrançois Hollande, de son côté, ne promet pas de miracle. La création de 500 000 places figurait dans le programme du Parti socialiste, pas dans celui du candidat. "Je préfère ne pas m'engager sur un chiffre plutôt que de venir vous expliquer dans cinq ans que j'ai échoué", déclarait récemment le candidat. Il propose de "contractualiser" avec les collectivités locales et d'établir des schémas locaux d'accueil de la petite enfance. Une solution préconisée par le Centre d'analyse stratégique, afin de mieux coordonner une politique aujourd'hui sans pilote, la petite enfance ne faisant pas partie des compétences obligatoires des communes.Au PS, Charlotte Brun assure que le candidat souhaite non seulement répondre à la demande, mais aussi "en susciter une nouvelle". "Beaucoup de choses dans la scolarité dépendent de ce qui a été acquis très tôt, affirme Mme Brun. A l'âge de 5 ans, il y a 500 mots de vocabulaire de différence entre des enfants de milieux sociaux différents." M. Hollande mise donc en priorité sur la scolarisation des moins de 3 ans. Une solution qui, sans être rejetée par les spécialistes de la petite enfance, est plutôt considérée comme un pis-aller. Le taux d'encadrement y est plus faible qu'en crèche. C'est aussi un mode d'accueil beaucoup moins cher (environ 4 600 euros par an et par enfant). Gaëlle DupontLes politiques au chevet de la communauté juive
En 2011, la précarité énergétique s'est aggravée en France
En 2011, la précarité énergétique s'est aggravée en FranceLe Monde| 20.03.2012 à 06h48• Mis à jour le20,hermes sac dépêche.03.2012 à 07h09 Les cas de précarité énergétique ont augmenté fortement l'an dernier en France, sous l'effet de la crise et de la hausse des factures d'électricité et de gaz, indique le Médiateur national de l'énergie dans son bilan 2011, publié mardi 20 mars.Le Médiateur, une autorité administrative indépendante qui a démarré ses activités en 2008, a vu son nombre de saisines augmenter de 14 % l'an dernier, à huit mille quarante-quatre, Related articles:

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