niprésent. En février, il assurera le lancement d'une ligne de lingerie masculine pour H M. Selon une enquête de France Football, le joueur aurait a-ccumulé une fortune de plus de 230 millions d'euros et, selon L'Equipe, il a signé avec trente partenaires commerciaux depuis 1995. Sans parler des bénéfices sur les ventes de maillots portant le nom de l'idole et ses droits à l'image, un domaine sur lequel veille son agent, Simon Fuller, qui mit en selle M-adonna en 1983 puis les Spice Girls, avant de créer le programme de télé-réalité "Pop Idol" ("Nouvelle Star",grand sac longchamp pas cher, en France). Le personnage veille aussi sur le patrimoine d'Elvis Presley.Même si David Beckham n'a jamais décroché le Graal qu'est le Ballon d'or, l'Europe n'a pas oublié ses coups de patte lorsqu'il défendait les couleurs de Manchester United, du Real Madrid ou de l'AC Milan. L'Amérique du football ne jure que par lui et l'Asie en a fait son héros. Il est le troisième sportif préféré des Chinois. Fin novembre, le match amical des Los Angeles Galaxy organisé à Djakarta a attiré 75 000 spectateurs qui n'avaient d'yeux que pour lui. David le tatoué s'est habitué à ce que l'on déroule le tapis rouge sous ses crampons.En 2005, le parlement espagnol a adopté la "loi Beckham" qui a fait passer de 43 % à 24 % le taux d'imposition sur le revenu des expatriés percevant plus de 600 000 euros par an. Une disposition notam-ment destinée à faciliter le recrutement des grands clubs espagnols. La "loi Beckham" a été abrogée en 2010 mais l'intéressé s'était envolé à Los Angeles. Là-bas, l'attaquant anglais a eu raison du "salary cap", le plafond limitant à 400 000 dollars la rémunération pouvant être versée à un joueur. La Major League Soccer (MLS) américaine s'est exécutée et la nouvelle recrue a pu signer un contrat lui garantissant 6,longchamp pas chère,3 millions de dollars (4,7 millions d'euros) par saison. Seuls l'Argentin Lionel Messi, le Portugais Cristiano Ronaldo et le Camerounais Samuel Eto'o sont mieux payés,sacs longchamp pas cher. Et encore. Ce pactole ne représente que le tiers de ses revenus. Le reste provient de ses six contrats publi-citaires en cours (Pepsi, Adidas...) dont le dernier, conclu avec la chaîne de supermarchés Sainsbury's, fait dire aux mauvaises langues que le grand blond descend en gamme... La "franchise Beckham" exige un management strict. "Il pose toujours avec le même masque, la même expression. Impossible de le faire dévier", raconte Alexis Armanet, que le joueur a choisi pour réaliser plusieurs campagnes publicitaires. "Il maîtrise tout et ne néglige aucun des détails la couleur de sa chemise ou la taille et l'emplacement du logo sur la publicité dont ne se soucient pas les autres joueurs stars", complète le photographe. Pour autant, l'équation gagnante du business Beckham ne se résume pas au cliché du beau-gosse-doué-pour-le-foot. "Son ambivalence lui permet de sortir de l'ordinaire et de s'imposer comme un personnage allant bien au-delà du sport", insiste Christophe Bouchet, ancien président de l'Olympique Related articles:

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