000 livres, vous imaginez ?), en partie à l auteur (encore heureux), en partie à l éditeur qui aura laissé le livre tomber dans l oubli.Et là,burberry pas cher, je voudrais qu on m explique : on s en prend au droit d auteur (auteur = qq un qui a bossé des jours ou des années pour écrire un livre) et on trouve normal qu un éditeur,polos burberry pas cher, PARCE QU IL AURA CESSÉ DE TRAVAILLER, soit payé ?Et à côté de ça, les éditeurs qui continuent bon an, mal an, à diffuser les ouvrages qu ils ont publiés,polo lacoste femme, se retrouveront avec une énorme quantité d ouvrages numériques (60 000 par an,sacs longchamps pas cher, jusqu à atteindre les 500 000) qui leur feront concurrence.On vit dans un monde formidable ! Il s’agit de numériser en masse, avec l’argent public, dans le but de vendre (à quel prix ? nul ne le sait. Avec ou sans DRM ? probablement avec) En voilà des bonnes questions!Le diable est dans les détails. Toujours. L’argent de la vente servira en partie à rembourser les frais (souhaitons donc qu’il y ait de nombreuses ventes,sacs longchamps en solde, ça nous fera moins d’impôts à l’avenir) de numérisation et gestion (très lourd, tout ça, 500 000 livres, vous imaginez ,polo burberry pas cher?), La numérisation que Google proposait de faire,sac burberry pas cher?Ah oui, mais Google c est américain donc méchant et caca. Maurice, vous êtes bien gentil, mais un livre est aussi un produit mis en vente,sac burberry. Il n est pas juste qu il ne rapporte qu aux intermédiaires, et pas à ses créateurs. De même que le boulanger, le plombier ou l ingénieur reçoivent paiement pour leur travail, les auteurs et les illustrateurs y ont droit aussi. Ou alors, il faudra se débrouiller pour que les auteurs et les illustrateurs aient droit à se nourrir,trench burberry pas cher, se loger et s équiper gratuitement. Sinon, vous n aurez plus rien à lire que des trucs antiques, car nous serons tous morts de faim. Aster, vous êtes d une naïveté sans borne.C est devenu la mode de vomir sur les créateurs et de les spolier de leur boulot en prétendant que leurs oeuvres sont forcément gratuites, car créées en vue de rencontrer un public.Vous faites partie de ces gens qui s imaginent qu on peut être auteur, comme on pratique le point de croix après son travail, en dilettante. A quel niveau pitoyable on redescendrait alors ! Renseignez-vous sur les livres que vous lisez (mais peut-être n en lisez-vous jamais ?), vous vous rendrez compte que 90% de vos lectures sont réalisées par des professionnels,soldes sacs longchamp. Ah tiens, vous n auriez pas cru Bien sûr, un premier livre peut s écrire en parallèle d un autre travail, mais sur le long terme, c est rarement tenable. Vous vous priveriez donc des oeuvres les plus matures d un auteur,sac longchamp pas cher. Tous les classiques que vous avez étudié à l école ont été écrits par des auteurs professionnels qui vivaient de leur plume et qui n auraient pu exercer une autre activité à côté, autre que complémentaire (mais peut-être êtes-vous du genre à vomir aussi sur Hugo,pull lacoste pas cher, Flaubert et Balzac ?).Quant aux illustrateurs, parlons-en. Il est impossible pour un illustrateur de réaliser un livre s il a un travail à côté. C est tout Related articles:

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