![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() ![]() |
News | |
![]() |
![]() |
![]() ![]() |
Author | Message |
dfgtvcxvtw
Newbie ![]() Joined: Apr 29 2013 Location: United Kingdom Online Status: Offline Posts: 18 |
![]() ![]() ![]() Posted: Apr 29 2013 at 9:49am |
il s'agit d'un voyage épique à travers les différents quartiers de New York une ville capable de réunir, à quelques mètres de distance, les classes, les races et les âges les plus éloignés. J'étais familier de certains de ces endroits, mais j'en ai découvert beaucoup d'autres pendant le tournage."A ses heures perdues, Sam Soghor, coproducteur et acteur du film, est guide touristique. Il fait visiter les recoins insolites de New York, quand il n'y organise pas de vastes chasses aux trésors. Sa connaissance de la Grosse Pomme fut précieuse lors des repérages : "Sam nous a aidés à trouver le parfait réservoir, dans lequel l'une des héroïnes va se baigner, sur les toits de New York", complimente Adam."UN " KIDS " SANS SIDA " Si la ville est un personnage à part entière du film, elle revêt les habits moites et légers du mois d'août, parenthèse alanguie dans la frénésie légendaire de la métropole : "En août, il fait si chaud et ça sent si mauvais que personne ne fait plus attention à ce qui se passe. C'est une période propice à l'aventure, au cinéma. "Lorsqu'on lui fait part des échos qu'entretient Gimme the Loot avec trois films mettant en scène de jeunes adolescents dans la touffeur new-yorkaise, Kids de Larry Clark (1995), Long Way Home de Peter Sollett (2002) et The We the I de Michel Gondry (2012), Adam, bien que flatté, défend mordicus la singularité de son bébé : "Long Way Home est un superbe film juvénile et estival, mais il ne suit qu'une seule communauté, un seul quartier, tandis que Gimme the Loot explore au contraire la ville dans toute son étendue et sa diversité. Quant à Kids, c'est un film qui a marqué ma génération, sans conteste. Mais aujourd'hui, il doit être possible de montrer l'allégresse, l'élan propre à l'adolescence, sans gommer l'âpreté du parcours des jeunes déshérités. Sous cet angle, Gimme the Loot peut être vu comme un Kids sans sida." En guise de boussole, Leon se réclame des échappées ludiques de Uptown Saturday Night (1974), de Sidney Potier, comme du naturalisme du Petit Fugitif (1953), de Ray Ashley et Morris Engel. Mais ses primes fugues cinéphiles, il les fait remonter à sa découverte de Star Wars, à l'âge de 5 ans : "J'adore la musique, mais cela m'a toujours semblé inaccessible. Dès l'enfance, le cinéma, au contraire, me paraissait à ma portée, allez savoir pourquoi !"Aux écoles de cinéma, Leon a préféré une formation généraliste, à la University of Pennsylvania, à Philadelphie : "L'aspect industriel des écoles de ciné m'a rebuté. A Philadelphie, je me suis plongé dans l'imposante filmothèque de l'université. Une grande partie de ma culture cinématographique vient de là."" MADAM, I'M ADAM "En la matière, rien ne vaut, cependant, l'expérience du terrain. Des années durant, l'apprenti cinéaste multiplie les petits boulots : il est assistant sur Hollywood Ending (2002) et Melinda et Melinda (2004) de Woody Allen ("mon maître, avec Robert Altman"), travaille pour une flopée de festivals
Related articles:
|
|
![]() |
|
![]() ![]() |
||
Forum Jump |
You cannot post new topics in this forum You cannot reply to topics in this forum You cannot delete your posts in this forum You cannot edit your posts in this forum You cannot create polls in this forum You cannot vote in polls in this forum |