let, ce qui représente une hausse de 5,2 % par rapport au mois précédent (770 au 1er juin), ajoute l'AP.Par ailleurs, 12 609 personnes bénéficient d'un "aménagement de peine sous écrou" (semi-liberté, bracelet électronique...), un dispositif ayant progressé de 21 % en un an (10 424 au 1er juillet 2011) et de 44,5 % en deux ans (8 728 au 1er juillet 2010).Mission d'information à l'Assemblée sur le cadre juridique des services de renseignement
Mission d'information à l'Assemblée sur le cadre juridique des services de renseignementLe Monde| 12.07.2012 à 17h25• Mis à jour le12.07.2012 à 17h46 La commission des lois de l'Assemblée nationale a décidé, jeudi 12 juillet, d'une mission d'information qui débutera ses travaux en septembre sur "le cadre juridique applicable" aux services de renseignement en France, a-t-elle annoncé dans un communiqué.Il s'agit de savoir "si l'on a besoin d'une loi pour permettre aux services de renseignement de bien travailler", et notamment d'éviter des suspicions, a précisé le président de la commission des lois, Jean-Jacques Urvoas."Cette mission d'évaluation où seront représentés tous les groupes parlementaires, se mettra en place d'ici le 25 juillet et débutera ses travaux dès le mois de septembre", a indiqué la commission des Lois dans son communiqué.Le rôle de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) a été récemment critiqué dans l'affaire Merah,hermes paris bombay homme.Lire : Questions sur la surveillance de Mohamed Merah par la DCRI"CONTRÔLE PARLEMENTAIRE""Ce cadre juridique applicable aux services de renseignement est-il suffisant, est-il adapté ?" a questionné M. Urvoas lors de l'audition jeudi matin du ministre de l'intérieur Manuel Valls. Celui-ci soutient la démarche de la commission. "J'y souscris", a-t-il dit.Il s'agit aussi d'évoquer "le contrôle parlementaire" des services de renseignements, a précisé M. Urvoas. Actuellement, il existe une délégation parlementaire au renseignement. Elle a été créée en 2007. Elle est composée de quatre députés et de quatre sénateurs. Ses travaux sont couverts par le secret défense et elle se réunit tous les mois."A l'instar de grands pays, le Parlement doit pouvoir exercer un véritable contrôle sur les services", a déclaré M. Valls. "C'est la garantie de la légitimité de leur action", a ajouté le ministre.Sur l'affaire Merah, M. Valls a estimé jeudi que cette affaire signait "l'échec, non d'un camp ou d'un homme, mais d'un dispositif",www.kellyhermesfr.com, faisant implicitement référence au précédent gouvernement et à l'ex-patron de la DCRI, Bernard Squarcini. "Il faut en tirer les conséquences administratives et organisationnelles", a-t-il dit.Choix assumé ou contraint, les trajectoires atypiques de non-bacheliers
Choix assumé ou contraint, les trajectoires atypiques des non-bacheliersLe Monde| 13.07.2012 à 15h02• Mis à jour le13.07,echarpe hermes.2012 à 16h19Par Mattea Battaglia Ne pas avoir le baccalauréat, c'est faire un peu figure d'exception, à l'he Related articles:

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