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ces moteurs exceptionnels,ray ban aviator, Audi ajoute une suspension pneumatique adaptative en option qui permet de ne pas dégrader le confort quand le véhicule est chargé et surtout de conserver une tenue de route excellente. Le programme électronique de stabilisation est tout aussi complet avec en particulier un système ESP de correction de trajectoire qui détecte le début des oscillations éventuelles d'une remorque. L'A6 Avant peut être équipée comme l'A8 d'un régulateur de vitesse autoadaptatif qui permet de réguler la vitesse en fonction de celle du véhicule qui précède. Le conducteur choisit quatre programmes différents qui déterminent le temps d'écart, d'une seconde pour une circulation dense à deux secondes trois dixièmes pour une circulation fluide,lunettes ray ban soleil, sur autoroute par exemple. Grâce à des capteurs dans le bouclier avant, le véhicule adapte sa vitesse, c'est-à-dire accélère ou freine automatiquement. En cas d'urgence,lunettes ray ban, le système enclenche un début de freinage destiné à alerter le conducteur qui doit évidemment prendre toute la responsabilité de la conduite. L'A6 Avant se place sur un marché de quelques dizaines de milliers de véhicules en France. La clientèle cependant ne refusera pas les modèles les mieux équipés puisque Audi France estime que la version la plus vendue sera l'Ambiente équipée du moteur 2,7 TDI à 49 800 euros. La plus accessible des A6 Avant équipée du moteur 2,4 essence est à 37 320 euros. Des tarifs élevés que justifie l'exceptionnelle qualité de finition du véhicule. Jacques Moran 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société -    le 6 Mai 2005 société « Les retombées seraient énormes » Vice-président communiste du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d Azur (PACA), Jean-Marc Coppola rappelle qu Iter serait un chantier colossal prévu pour s étaler sur une cinquantaine d années. Quelles seraient les retombées économiques et sociales de l'implantation du réacteur Iter à Cadarache ? Jean-Marc Coppola. Sur place, les retombées seraient énormes. Qu'elles soient directes ou indirectes d'ailleurs. Cela permettrait d'abord de créer de nombreux emplois, pour la fabrication du site, puis pour la production et la recherche. Mais ce n'est pas tout. L'implantation d'Iter est un chantier colossal, prévu pour s'étaler sur une cinquantaine d'années. Pour le mener à bien, nous aurons très rapidement besoin de tout un tas d'infrastructures nouvelles : de nouveaux logements, de nouvelles routes, de voies ferrées supplémentaires, des écoles, etc. Ce serait donc une très bonne chose, non seulement pour le développement des Alpes-de-Haute- Provence, mais aussi pour l'ensemble de la région PACA. Et sur le plan de la recherche ? Jean-Marc Coppola. Bien sûr, c'est très important pour la recherche, y compris en termes de développement durable, qui est une priorité de la région. À Cadarache, les chercheurs sont bien plus optimistes que peuvent l'être certains politiques. Car ils savent que c'est un pari sur l'avenir. Ils se disent que, de toute façon, si cela ne se fait pas maintenant, cela se fera tôt ou tard, car c'est nécessaire. Pour les pays développés de l'Europe, comme la France, et de tout l'Occident, mais aussi pour la planète entière. Cela permettrait aux pays sous-développés ou en voie de développement d'utiliser des énergies traditionnelles, dont nous nous servons aujourd'hui, et de se hisser vers le haut. Loin de creuser les écarts avec ces pays, et de renforcer des inégalités au niveau de la planète, c'est au contraire indispensable, pour l'humanité entière. Comment l'éventuelle venue d'Iter est-elle accueillie par la population ? Jean-Marc Coppola. Très très bien. Il y a des opposants, essentiellement chez les Verts, mais cela reste minoritaire. Les acteurs sociaux et économiques s'accordent pour soutenir la venue du réacteur Iter. Sur le terrain, je constate un véritable consensus et surtout un très bel optimisme. Entretien réalisé par Florence
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sentie », c’est qu’elle recouvre 
une réalité. Les Français ressentent que l’imprudente promesse du redressement de la courbe du chômage 
« à la fin de l’année » ne sera pas tenue. Ils ont bien conscience que le nouveau train de restrictions budgétaires va peser lourd sur les services publics et geler la croissance. Ce qu’ils entendent des projections d’avenir, c’est qu’ils seront appelés à de nouveaux « efforts », par exemple, sur leurs conditions de départ en retraite. D’où une perte de confiance qu’une bonne explication de texte, bien pédagogique, même menée par les mille voix de ministres et dirigeants socialistes, ne suffira pas à endiguer. À un an des échéances électorales de 2014,hermes birkin, il n’y a rien, vraiment rien de réjouissant à cela. Paule MassonContre l’isolement et 
la précarité, l’égalité par Marie-George BuffetOui, ces femmes veulent travailler ! Pour elles, c’est la liberté, une place dans la société. Avec le chômage ou l’assignation à résidence,sac hermes birkin, faute d’accueil collectif pour leurs enfants, la souffrance de l’isolement s’ajoute aux difficultés matérielles. Le travail est un des nœuds du combat féministe et de la double lutte à mener contre le patriarcat et le capitalisme. Il faut des lois, mais aussi que les mentalités évoluent. Tant que le travail domestique –donc gratuit– reposera à 64 % (selon l’Insee) sur les femmes, il sera difficile de faire reconnaître qu’un emploi occupé par une femme peut avoir la même valeur. Tant que l’éducation des enfants relèvera essentiellement des femmes, la maternité sera culpabilisée dans le milieu professionnel. Tant que l’on considérera que la chose publique va mieux aux hommes, le plafond de verre continuera d’exister dans les entreprises. Alors oui, mobilisation générale pour l’égalité professionnelle !Reconnaître tous 
les modèles familiaux par Bernadette GroisonLa question du mariage pour tous a été l’occasion d’un premier débat de société sur la famille. Il faut le poursuivre. Notre société doit accepter sa propre réalité : le modèle familial n’est plus uniquement –s’il l’a été un jour– sur le schéma d’un homme et d’une femme. Beaucoup de familles sont structurées différemment, qu’il s’agisse des couples homoparentaux ou des familles monoparentales. Elles ne peuvent plus être considérées comme étant « marginales » ou de « transition »… Elles existent. Cette stigmatisation peut laisser à penser aux enfants que leurs familles seraient en difficulté,des ray ban, voire seraient un problème. Or, pour grandir, se construire, ils ont besoin qu’on reconnaisse aussi leur famille. L’éducation qui leur est dispensée devrait s’appuyer sur la légitimité de ces différents modèles. Tous ces enfants, quelle que soit leur structure familiale, sont à égalité et seront les citoyens de demain.De quelle normalité parle-t-on ? par Sophie de la RochefoucauldEncore une fois, c’est la femme qui trinque ! Les familles monoparentales sont à 85 % 
des mères et des enfants. Et leurs mots aujourd’hui dans l’Humanité sont frappants : « guerrière », « coupable »… Le regard que porte la société sur ces femmes est terrifiant. Elle montre du doigt et stigmatise une situation qui n’a rien d’anormal. Elle devrait en être solidaire et leur donner la priorité dans leur recherche de travail ou de mode de garde, au lieu de leur interdire les places en crèche ou à la cantine sous prétexte justement qu’elles sont à la maison. Ces familles normales ont droit à une vie normale !Précarité aujourd’hui, pauvreté demainpar Najat Vallaud-BelkacemLes familles monoparentales sont les premières frappées par la crise. Le niveau de vie de référence d’un célibataire avec un enfant ne représente que 60 % de celui d’un couple avec un enfant. Un quart de ces familles ne perçoit ni pension alimentaire, ni allocation de soutien familial, dont beaucoup ignorent l’existence. Or le
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ulier aujourd'hui, il risque d'apparaître bien plus tard. Les premiers jours, les gens avaient des demandes matérielles et ils avaient besoin aussi d'entendre un discours rassurant. Depuis, ils commencent à réaliser qu'il s'est passé quelque chose de grave. Les angoisses remontent, les gens sont en attente d'entretiens individuels. Quant aux enfants qui continuent à ne pas avoir d'école, nous avons un rôle social et de médiateur auprès des familles. Cela fait cinq jours que je suis là sans relâche. Ceux qui vivent, travaillent sur place sont en état de choc. Devant tant de difficultés, j'ai parfois du mal à mettre de la distance ".       " Les éclats de verre avaient traversé son jean " Nicole Pradel, mutualiste à la CMCAS et secouriste de la première heure. " Je suis monitrice de secourisme. Alors, quand l'explosion a eu lieu, j'ai pris ma voiture et je me suis rendue sur place. En chemin, je rencontre trois blessés, dont une jeune femme : les éclats de verre avaient traversé son jean et pénétré dans sa chair. Je les ai conduits tous les trois dans une clinique. " Ce 21 septembre, et le lendemain, Nicole Pradel a porté secours aux blessés et aux sinistrés douze heures par jour. Agent EDF, elle est détachée auprès de la mutuelle CMCAS. Très vite après l'explosion,ray ban, elle s'est trouvée au Mirail, où un poste médicalisé avait été installé. " Le nombre de blessés graves était considérable. Il fallait parer au plus pressé. " Puis elle est allée à l'hôpital Purpan, où certains blessés étaient soignés sur les pelouses. " J'ai vu beaucoup de secouristes craquer. Moi, je tiens le coup parce que ma maison n'a pas subi de dégâts. Aussi, quand je rentre chez moi, j'essaie de faire le vide. " Standardiste de la cellule d'urgence de la CMCAS, Nicole a ensuite fait partie des équipes qui se rendaient au domicile des agents EDF sinistrés. " Je les aide pour toutes les formalités. " Nicole n'oubliera jamais " la vue des blessés en sang, qui couraient dans tous les sens, affolés. " Qu'a-t-elle pensé à ce moment-là ? " Les catastrophes que l'on voit à la télé n'étaient plus extérieures. J'y étais, en plein dedans. " Elle se souviendra aussi de ce qu'elle a vu le dimanche soir, dans le périmètre le plus dévasté : " Les habitants quittaient le quartier, très tristes, les voitures pleines à craquer,lunettes ray ban, emportant ce qu'ils pouvaient. L'exode ! Une telle catastrophe... Je ne pensais jamais voir ça. " " J'ai lu la panique sur les visages " Michel, sapeur-pompier de la caserne de Buchens " Pendant l'explosion,lunettes ray ban soleil, j'ai été brusquement éjecté de ma moto. J'ai été un des premiers sauveteurs à arriver sur place. J'ai tout de suite téléphoné à la caserne en leur disant : " Envoyez tout ce que vous pouvez, ça vient de péter à Grande-Paroisse ! " Autour de moi, il y avait des gens totalement affolés qui couraient partout pour s'enfuir. J'ai lu la panique sur tous les visages. J'étais en tenue civile mais les gens m'ont vite écouté parce que je criais sans arrêt que j'étais sauveteur. C'est incroyable comme ils peuvent obéir et se laisser guider dans ce genre de situation. J'ai pris une centaine de personnes en charge. J'ai commencé par trier les blessés légers et les plus lourdement touchés. Quatre ou cinq victimes ont été évacuées vers les hôpitaux les plus proches. Il y avait du travail partout. J'ai demandé à quelqu'un de m'aider à dégager un homme bloqué sous une armoire métallique. Autour de nous, c'était le carnage, tout avait été pulvérisé. Les premières ambulances sont arrivées rapidement. Avec le matériel de déblaiement de ma brigade, on a cherché des rescapés ensevelis. On a retrouvé quatre ou cinq miraculés. Je savais qu'il y avait du phosgène sur le site car nous y faisions régulièrement des exercices. Je me suis dit : " Si ce produit est touché, t'es mort ! " J'ai continué à ouvrer. Il y avait une forte odeur d'ammoniac. Et puis j'ai pensé : " Si on est encore vivant, c'est bon. " Trois heures après l'explosion, nous
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