我的名字 :we 我是 : [图片] 我在这里 :中国 北京 东城 我的星座 : [图片] 此时的心情 : 新空间，心分享 想对朋友说的话 : 期待和你们相聚在这里，分享生活点滴、分享心路历程,http://duchaom-12.org/，分享这美好而易逝的时光 历史上的今天 : 1921年,http://aboo999.org/，胰岛素分离成功我的生肖 : [图片] ]]> Related articles:

• This document you requested has moved temporarily.
• 让我们一起享受QQ空间的网络生活新体验

rentrée 2009. Et à ce sujet, les interrogations sont nombreuses. Un tract collectif, marqué par une forte inquiétude, les détaille : « Qu'advient-il des groupes restreints qui permettent le meilleur suivi des élèves ? » « Le bac restera-t-il un examen national conditionnant l'accès à l'enseignement supérieur ? » « Le choix des modules influera-t-il sur le nombre d'élèves par classe ? » « Qu'adviendra-t-il des enseignements peu choisis par les élèves ? »... Ce vendredi soir, ils sont une quinzaine à s'inscrire sur une liste pour diffuser 3 000 tracts pendant le week-end. La discussion s'anime autour des lieux stratégiques pour toucher un maximum de gens. Fabrice est professeur de sciences économiques et sociales. Il enseigne au lycée Einstein depuis six ans et participe au mouvement depuis le début. Comme pour beaucoup de ses collègues, si l'échec de la grève d'avril 2003 a laissé de mauvais souvenirs, il refuse de se résigner à appliquer des réformes sans avoir été consulté. Alors, que faire ? La question a surgi à la fin de la journée de mobilisation du 20 novembre dernier. Que faire, lorsque ni les grèves ni les manifestations n'interpellent le ministre de l'Éducation, Xavier Darcos ? « À chaque fois, on est quinze à faire grève et autant à manifester. Après, il ne se passe rien. Alors, on s'est dit qu'il fallait commencer à faire circuler l'information sur la réforme et faire tourner un texte de soutien... » Au même moment, les élèves ont tenté un blocus. « Mais ça allait à l'encontre de notre démarche... On a discuté avec eux et on les a convaincus de nous rejoindre », ajoute Fabrice. En peu de temps, le collectif Einstein se monte. Jérémie et Sami, lycéens, sont très - actifs. « Au début, on n'a pas très bien compris, avoue - Jérémie. Après, on est allé aux réunions. C'est positif de continuer les cours et de participer au mouvement le soir. On n'est pas contre la réforme par principe. Sans doute qu'il en faudrait une mais pas celle-là. On ne veut pas que les contenus s'appauvrissent. La culture générale, c'est important pour tous. Alors, on demande des explications, c'est pas compliqué... » Il est 19 h 30. Dans le couloir qui mène à la salle des profs, QG des occupants nocturnes, le local syndical et autres salles de professeurs sont remplis de matelas gonflables et de lits de camp. Évelyne, professeur d'histoire-géographie, fait partie du collectif. Ce vendredi soir, elle dort au lycée. Malgré la déception de la grève de 2003, elle se réjouit que de nouvelles actions voient le jour « avec des jeunes collègues ». « Nous les vieux, dit-elle en riant, on a fait beaucoup de grèves... Et mon expérience m'a montré qu'on récolte le contraire du but recherché. Faire grève sans être soutenu par l'opinion, à quoi bon ? Il fallait marquer les esprits. Bien sûr,sac longchamp moins cher, cette occupation demande beaucoup d'investissement personnel. C'est en plus des cours ! Mais il n'y a pas d'obligation. » Le collectif Einstein dénonce des pressions exercées sur le chef d'établissement, Gérard Longhi, par l'inspection académique de l'Essonne. De son côté, Christian Wassenberg,solde sac longchamp, inspecteur de l'académie, en appelle « à la raison » et assure n'avoir pas « demandé de noms ». Et d'ajouter : « Par contre, il me paraît normal que monsieur Longhi cherche à savoir qui sont les responsables de l'occupation. Pour l'instant,sac longchamp, il n'y a pas de dégradations mais il peut être risqué, in fine, d'occuper les lieux. » En attendant, d'autres groupes scolaires, collèges et lycées s'inspirent de ce type d'action (lire ci-contre). « On a plein de contacts et on sait que ça commence à prendre un peu partout », assure Fabrice. Pour Ivan et Valentin qui font partie des six assistants pédagogiques du lycée, le mouvement est « une bonne idée, très fédératrice, qui permet aux élèves de se sentir concernés ». Christian, professeur de physique, comprend mal le passage en force du ministre. L'école lui semble être un - sujet suffisamment essen
Related articles:


   http://www.xianbook.com/

   http://ns.reesun.com/viewthread.php?tid=7620519&extra=page%3D1

   http://www.zkway.com/home/space.php?uid=151529&do=blog&id=2169747

sentant de l’Armée de Libération du Soudan que je défends contre les menaces récurrentes d’expulsion du Quai d’Orsay pour cause d’intransigeance à l’égard du criminel de guerre qui préside à Khartoum. Pour les chrétiens d’Algérie poursuivis pour blasphème par les tribunaux de leur pays. Pour les opposants iraniens réfugiés en France contre le régime des mollahs. Pour le gouvernement provisoire de Kabylie basé à Paris. Pour les Tamouls massacrés au Sri Lanka. Pour les Tibétains expulsés, quitte à ne pas vendre son livre aux Chinois. Pour les modernes esclaves indiens ou bengalis de Duba? ou d’Abou Dhabi…La blasphématoire vérité,sac longchamps pas cher en soldes, c’est que ? saint Stéphane ? est du c?té du sceptre, du manche et de la cognée. Du c?té des faux rebelles et des authentiques fayots. Du c?té des ochlocrates. Du c?té des theatrocrates démagogues raillés par Platon,pochette marque longchamp pas cher homme, du c?té, précisément, de ceux qui ont monté en omelette baveuse de platitudes,longchamps sac pliage solde, de boursouflures, de vantardises, de mensonges, de demi-mensonges, en poussant des oh !, des ah !, des bravos !, et des encore !Hier, Elena Bonner, veuve Sakharov est morte en exil. En silence. Dissidente.Tout le contraire d’un conformisme nauséabond en odeur de sainteté.Et dans le sens du vent.____________________________________Extraits de Le vieil homme m'indigne !, Jean-Claude Gawsewitch (26 janvier 2012)
缩略图:
内容: 12Page suivantedernier??
缩略图:
内容: 123Page suivantedernier??
缩略图:
内容: Au moment précis où Fran?ois Hollande se présidentialisait en grandes pompes au Bourget, son discours repris live sur toutes les cha?nes d’info, un tout petit candidat s’appliquait à faire vibrer quelques centaines de partisans de la ?France Libre? dans un théatre des boulevards (et sans même une FM locale pour faire le buzz)… Nicolas Dupont-Aignan (bien penser à ne pas faire la liaison, il para?t que ?a l’agace autant que le président du Modem lorsqu’on l’appelle Fran?ois Bérou), c’est un peu l’électron libre du dispositif souverainiste: il dit à peu près tout comme Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon, mais avec un twist gaulliste dont on avait un peu perdu l’habitude et ce petit c?té sincère qui fait tant défaut aux deux roublards. Mais que veut-il exactement, le député-maire d’Yerres (Essonne)? Et en quoi sa présence dans la course est-elle moins dispensable que celle de, disons, Hervé Morin ou Dominique de Villepin, autres ?wannabe presidents? arrimés aux 0,5% dans les sondages ? Bon, comme ses collègues frontistes des deux rives, il tient essentiellement à ?balayer la caste des incompétents qui nous gouvernent?, renvoyer les ?eurocrates de Bruxelles? à leurs chères études en rompant avec les traités et, surtout, faire du ?protectionnisme intelligent?. Mais sa culture censément droitière (il vient de l’UMP via le RPR) ne l’empêche pas de rêver d’une ?nationalisation des entreprises stratégiques?, Total en tête, et d’avoir du mal avec la xénophobie du Front National (?A la différence de certaine
Related articles:


   http://www.ns-music.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2207119

   http://zkratch.com/members/home

   http://livedublindieyoung.com/activity/p/385874/