u le prince Andrew, d'elle-même, de son petit-fils ou sa propre mort, et donc elle ne pouvait pas deviner ses paroles.
　　"Mettez votre robe blanche. Je l'aime ?, c'est ce qu'il dit.
　　Après avoir entendu cette princesse Mary sanglotait encore plus fort,lacoste pas cher, et le médecin lui prenant le bras a menée sur la véranda, son apaisant et essayer de la persuader de se préparer à son voyage,lacoste femme. Quand elle eut quitté la salle, le prince nouveau commencé à parler de son fils, au sujet de la guerre et de l'empereur, furieux tics ses sourcils et en élevant la voix rauque, puis il a eu un accident vasculaire cérébral deuxième et dernière.
　　Princesse Marie se tenait sur la véranda. La journée avait dégagé, il faisait chaud et ensoleillé. Elle ne pouvait rien comprendre, ne penser à rien et ne sentent rien, sauf l'amour passionné pour son père, l'amour, comme elle pensait qu'elle n'avait jamais ressenti jusqu'à ce moment,lacoste homme. Elle a couru en sanglots dans le jardin et dans la mesure où l'étang, le long des avenues de jeunes tilleuls prince Andrew avait planté.
　　Oui I. .. I. .. J'ai souhaité sa mort! Oui, je voulais qu'elle se termine plus vite .... Je voulais être en paix .... Et que vais-je devenir? Quelle utilisation sera la paix soit quand il n'est plus là? " Princesse Mary murmurait, en arpentant le jardin à pas précipités et en appuyant ses mains sur sa poitrine qui se soulevait avec des sanglots convulsifs.
　　Quand elle eut terminé la visite du jardin, ce qui l'a amenée à nouveau à la maison, elle vit Mlle Bourrienne-qui étaient restés à Bogucharovo et ne voulait pas le laisser-venir vers elle avec un étranger. Ce fut le maréchal de la noblesse du district, qui était venu personnellement faire remarquer à la princesse la nécessité pour son prompt départ. Princesse Marie écouta sans comprendre, elle le conduit à la maison, lui a offert le déjeuner, et s'assit avec lui. Puis, s'excusant, elle alla à la porte de la chambre du prince vieillard. Le médecin est sorti avec un visage agité et a dit qu'elle ne pouvait pas entrer.
　　?Va-t'en, princesse! Allez-vous en. Allez-vous en.
　　Elle est retournée au jardin et s'assirent sur l'herbe au pied de la pente de l'étang, où personne ne pouvait la voir. Elle ne savait pas combien de temps elle avait été là quand elle a été réveillé par le bruit des pas d'une femme qui longent le chemin. Elle se leva et vit Douniacha sa femme de chambre, qui était évidemment à sa recherche, et qui s'arrêta soudain, comme si en alarme en voyant sa ma?tresse.
　　"S'il vous pla,lacoste femme "?t venez, princesse ... Le Prince ?, a déclaré Douniacha d'une voix de rupture.
　　"Immédiatement, je viens, je viens!" répondit la princesse en toute hate, ne donnant pas le temps de finir Douniacha ce qu'elle disait,lacoste chaussure tre qu'il se livrait encore une mélancolie profonde, et en essayant d'éviter de voir la jeune fille, elle courut vers la maison.
　　?Princesse,lacoste pas cher plut, c'est la volonté de Dieu! Vous devez être prêt à tout ?, dit le maréchal, de la rencontrer à la porte de la maison.
　　"Laissez-moi tra