arkozy, selon Fillon Il n'y a pas de raison de trouver de candidat de substitution à Sarkozy, selon FillonLe Monde| 30.09.2011 à 20h42• Mis à jour le30.09.2011 à 20h59 François Fillon a estimé vendredi 30 septembre à Vilnius qu'il n'y avait pas lieu de trouver un candidat de substitution à Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle et assuré qu'Alain Juppé comme lui "soutiendraient" le chef de l'Etat pour la campagne de 2012.La veille, le ministre des affaires étrangères avait assuré sur France 2 qu'il aiderait "sans ambiguïté" le chef de l'Etat, tout en s'amusant à préciser : "s'il est candidat..."."Nous avons un candidat naturel qui s'appelle Nicolas Sarkozy", a déclaré François Fillon."Je peux vous dire qu'Alain Juppé comme moi, nous travaillons avec lui dans un climat de très grande confiance et donc nous souhaitons sa candidature et nous la soutiendrons. (...) L'idée de recours est une idée qui n'a pas de sens", a conclu le chef du gouvernement.Le nom d'Alain Juppé a été évoqué ces dernières semaines,polo lacoste pas cher, pour contrer une image très dégradée de Nicolas Sarkozy, confronté à une crise économique persistante et à la mise en cause de plusieurs de ses proches dans des affaires politico-financières.Retrait de Jean-Louis Borloo : désarroi au centre, satisfaction à l'UMP Retrait de Jean-Louis Borloo : dé,casque monster beats;sarroi au centre, satisfaction à l'UMPLe Monde| 03.10.2011 à 09h00• Mis à jour le03.10,monster beats.2011 à 11h58 L'annonce-surprise par Jean-Louis Borloo, dimanche 2 octobre sur TF1, qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle de 2012, a laissé ses soutiens désemparés. Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau centre, proche de Borloo, s'est ainsi dit  "profondément triste et déçu" "comme des dizaines de milliers de militants et des millions de Français". Maurice Leroy, ministre (Nouveau Centre) de la ville, a estimé lundi 3 octobre sur RTL qu'en jetant l'éponge dans la course à l'Elysée, Jean-Louis Borloo avait eu un comportement d'"homme d'Etat" qui reste dans le centrisme et "pas dans l'égocentrisme". Il a parlé d'un "moment intense d'émotion" quand l'ancien ministre a annoncé son retrait. "Jean-Louis s'est comporté en homme d'Etat qui a réfléchi.""En se sacrifiant pour la majorité, Jean-Louis Borloo a souhaité la sauver", a de son côté déclaré Rama Yade sur RTL. Celle-ci avait quitté l'UMP en avril, à la suite de Jean-Louis Borloo, qui venait de voir s'échapper le poste de premier ministre.Le président du groupe Nouveau Centre à l'Assemblée nationale, Yvan Lachaud, a estimé que les centristes devront désigner un candidat à la présidentielle, malgré le retrait de Jean-Louis Borloo, pour que leurs idées soient "entendues au printemps 2012".Pour Hervé de Charette, co-fondateur de l'Alliance des centres, "c'est une décision qui déçoit ses amis. Mais, en même temps, c'est une décision responsable car il est vrai que la situation politique de la France ne permettaitRelated articles: http://www.treynash.net/2007/12/accelerated-c-2008-now-available.html#comments http://www.marylandcaraccidentlawyersblog.com/2012/09/pedestrian-deaths-in-maryland.html#comments http://eweixiehui.hrbeu.edu.cn/BBS//home.php?mod=space&uid=164498&do=blog&id=316746