s publics.Contestant le bail "d'un ou deux ans" proposé par le gouvernement, M. Hamza souhaiterait en outre "signer un bail de neuf ans". Sur ce dernier point, l'enjeu n'est pas mince. Si le ministère de l'intérieur s'est engagé à trouver "un lieu de prière transitoire", avant l'ouverture - au mieux en 2013 - de deux lieux de culte prévus dans le 18e arrondissement dans le cadre de l'Institut des cultures d'islam (ICI) porté par la mairie de Paris, il n'a jamais été question d'en faire un lieu de culte pérenne, contrairement à l'espoir caressé par certains musulmans."Pourtant, si dans deux ans on nous dit de partir (de la caserne),bracelet cuir hermes, on retombera dans les prières de rue, car les projets de l'ICI ne suffiront pas à accueillir tout le monde", prévient M. Hamza. Le ministère de l'intérieur reconnaît que le nombre de places de prière dans Paris est largement insuffisant ; et dénonce régulièrement la préemption opérée par les mairies d'arrondissement sur des locaux qui pourraient être loués ou achetés par les associations musulmanes.Signe de la sensibilité de ce dossier, la difficulté objective à trouver de grands espaces pour mettre fin aux prières de rue à Paris s'est doublée ces dernières semaines de bisbilles politiques entre la mairie et le gouvernement.A Marseille, un commandant de police accusé d'avoir renseigné le milieu
A Marseille, un commandant de police accusé d'avoir renseigné le milieuLe Monde| 02.09.2011 à 09h50&bull,sac hermes paris moins chers; Mis à jour le02.09.2011 à,bracelet azur hermes; 09h50 Un commandant de police faisant partie de l'état-major de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) des Bouches-du-Rhône, soupçonné d'avoir violé le secret professionnel, a été présenté jeudi à un juge d'instruction. "Nous avons demandé son placement sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer pendant la durée de l'instruction et de se rendre dans les locaux de la police", a précisé à l'AFP le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest. "On lui reproche une divulgation d'informations liées à son activité professionnelle, notamment dans le cadre de relations franc-maçonnes", a priori sans contrepartie financière, a-t-il dit. Il a ajouté que le dossier, instruit par le juge Christophe Perruaux, reposait sur "un certain nombre d'éléments, dont des écoutes téléphoniques".L'enquête devra déterminer s'il s'agit de "services rendus" à des amis ou "s'il y a des intérêts derrière", a dit le procureur. Le commandant, âgé de 56 ans, en poste depuis longtemps dans la cité phocéenne, avait été placé en garde à vue mercredi matin. "C'est une figure de la police marseillaise, qui a toujours été appréciée" par sa hiérarchie, selon M. Dallest. Une information judiciaire a été ouverte pour violation du secret professionnel, et détournement de l'usage d'un fichier informatique à des fins étrangères à son objet – en l'occurrence, le Système de traitement des infractions constatées (STIC), le principal fichier de l Related articles:

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