tudes, Jennifer s'est aussi formée en yogathérapie. Tous nos petits bobos, on peut les lui raconter, elle trouve la posture pour nous remettre d'aplomb.Bon, j'arrête les digressions, http://www.clesjustice64.fr/monsterbeats.asp - casque monster beats . Je réintègre mon corps et mon cours : pas question de rater une posture. Je fais les mêmes choses que les filles face à moi. Prouesse : je ne suis pas à gauche quand elles sont à droite. Mais je sais que ce décalage me guette... Avec le yogging, mieux vaut pourtant connaître sa droite et sa gauche et être fortiche en anatomie. Enfin, Jennifer est cool. Elle passe dans les rangs et vous remet dans le tempo, http://www.clesjustice64.fr/monsterbeats.asp - casque monster beat , bouge un bras ou une jambe, insensiblement, parce qu'elle voit bien quand vous n'êtes pas dans la bonne posture."DÉCAMBRER LES LOMBAIRES"Y a des concepts que je laisse filer. Il me manque du vocabulaire anatomique. "Elargissez les trapèzes", demande la prof. Là, c'est le blanc. Aucune idée de ce que je dois faire. Je jette un oeil à droite et à gauche. Mais comme mes voisines ne sont pas des écorchées du cours de sciences naturelles, mais de jolies femmes en tee-shirt branché, je ne sais pas quels muscles elles sont en train d'étirer. Après réflexion, ça doit être dans le dos : maintenant, il faut "décambrer les lombaires en rentrant les côtes basses". Comme je suis potache, la côte basse m'emmène évidemment chez le boucher... C'est fou ce qu'on fonctionne par associations d'idées , http://www.destinationreussite.fr/casquemonster.asp - casque monster beat ! Comme si les mots étaient des liens et qu'on les activait, comme les postures de Jennifer.Bon... Je m'applique et je trouve franchement que ça fait un bien fou. Pas le même relâchement que tout à l'heure, allongée, mais une vraie sensation de retrouver une cohérence de corps. Comme si le stress avait déplacé des pièces de mon puzzle interne et que je les remettais en place. En fait, je comprends pourquoi c'est un yoga à joggeuse. Ça recale tout ce que la course a déplacé.Ah, récompense ! L'heure s'achève et on a à nouveau droit au tapis : "Sentez la respiration qui entre dans vos narines et suivez-la le plus longtemps possible." Je ne vois pas bien l'air qui descend le long de ma colonne vertébrale, comme demande ma prof. Je perds très vite mon air quelque part dans le thorax. C'est bête parce que si je le suivais mieux, j'expirerais mieux. Et si j'expirais mieux, je viderais mieux mon abdomen du vilain stress ! Je pourrais aussi la jouer plus "doc" et dire que ça stimule le système nerveux parasympathique, responsable de notre fréquence cardiaque. Si on le travaille bien, on récupère plus rapidement après l'effort. Donc on court mieux. Et on passe la ligne d'arrivée plus fraîche !Ce premier cours aura été une révélation. Jennifer Aknin m'a demandé de faire ce contre quoi je lutte tous les jours : être à l'écoute de mon corps. Je le fais taire tout le temps, ce corps : quand il a faim, quand il est fatigué, quand il a mal... Ça me semble d'emblée une bonne idée, son programme. S'écouter. C'est vrai qu'on ne le fait pas beaucoup. Je ressors de là en me disant que la commande de cet ar
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