sponsables politiques de se faire entendre, il n'avait au fond guère le choix : pour endiguer sa chute dans les sondages, il devait avant tout colmater les brèches de son impopularité. C'est donc ce qu'il a fait.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr, http://www.lacostepolospascher.com - polo lacoste pas cher , http://www.70wed.com/home.php?mod=space&uid=167455&do=blog&id=293937 - http://www.70wed.com/home.php?mod=space&uid=167455&do=blog&id=293937 .Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1 / mois | Découvrez l'édition abonnésAu cur de son discours : la constance. Depuis toujours, François Hollande sait qu'il a des preuves à fournir en ce domaine. Davantage considéré comme un maître du pragmatisme que comme un roc de convictions, y compris au sein de sa propre famille politique, il a fait l'analyse et ce, dès le jour où il s'est lancé dans la course à la présidentielle, que tout soupçon de versatilité lui serait fatal. Et qu'apparaître aux yeux des Français comme un homme droit dans ses bottes était pour lui indispensable, http://www.dahongxian.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2078234 - http://www.dahongxian.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2078234 .Convaincu, en outre, que l'inconstance de Nicolas Sarkozy a contribué à la chute de celui-ci, il estime, à l'inverse, que c'est en maintenant le même cap qu'il gardera la confiance des électeurs. C'est le message principal qu'il a souhaité adresser aux Français jeudi : d'où la rareté des annonces fracassantes, d'où le choix, dès le début de l'émission, de répéter ce qu'il a déjà dit maintes fois sur ses objectifs en matière de chômage, http://www.burberrysacipascher.com - burberry echarpe , de croissance et de réduction des déficits. D'où la décision de tenir bon sur le principe d'une taxe à 75 %. Compte tenu du poids symbolique de cette mesure, la maintenir est un signe politique majeur. C'est pour lui une façon de dire : "Voyez comme je tiens bon."Lire aussi : Le dérapage budgétaire affaiblit la parole de M. HollandeAprès la constance, http://101c.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=53792 - http://101c.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=53792 , la fermeté. Là aussi, il lui reste à faire ses preuves, comme ne cessent de le rappeler les enquêtes d'opinion. Volontiers dépeint comme mou ou indécis pendant la campagne présidentielle, il sait qu'il n'a pas totalement réussi à dissiper cette image un an après son élection. Face à David Pujadas, tout semblait avoir été calibré pour en finir une fois pour toutes avec ce soupçon : l'omniprésence du "je", inhabituelle chez lui, l'absence totale du premier ministre et du gouvernement dans son discours, la menace de sanctions à l'égard des ministres qui se rendront coupables de "la moindre imprudence" ou de la "moindre expression malheureuse".En adoptant un ton autoritaire, et en l'accompagnant d'un vocabulaire martial, par exemple lorsqu'il file la métaphore de la "bataille contre le chômage", François Hollande sait qu'il joue à contre-emploi. Mais là encore, il estime qu'il n'a pas le choix. Il en va de même quand il dit : "Je n'attends pas la croissance, je la crée." En creux, c'est pour lui une façon de dire qu'il a intégré les critiques de ceux qui lui reprochent de vouloir "donner du temps au temps", comme aurait dit François Mitterrand.Lire aussi : De la clarté, monsieur le Président , http://www.pololacostefemme.com - la boutique lacoste !Reste un dernier soupçon : le
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