éjà en train de partir". Les images sont bonnes, la déception est atténuée. Au Mouv', Justice est cool, philosophe, pacifiant. La Tecktonik ? "50 millions de fans ne peuvent pas avoir tort". Le succès ? "Rien n'est jamais acquis". Un prochain album ? "On joue le soir et on dort dans le bus, ce n'est pas propice. Et puis nous avons encore beaucoup d'aspects à décliner sur cet album, en vidéo notamment". Avant de ressortir "rue de la saucisse" (merguez, andouillette, tartiflette), les deux garçons se font intercepter par trois jeunes filles et leurs appareils numériques en attente de leur trophée de printemps : une photo avec Justice. Elles n'y auraient même pas pensé en 2007.Véronique Mortaigne - BOURGES, Envoyée spécialeLe monde abonnementsProfitez du journal où et quand vous voulez. Abonnements papier, offres 100 % numériques sur Web et tablette.S'abonner au Monde partir de 1 Les rubriques du Monde.frInternational Politique Société Économie Culture Sport Techno Style Vous Idées Planète Éducation Disparitions Santé Les services du MondeLa boutique du Monde Le Monde dans les hôtels Formation anglais Annonces auto Annonces immo Tirages photo Rencontres Shopping Comparateur crédit Devis travaux Conjugaison Programme télé Jeux Météo Trafic Prix de l'immobilier Sur le web Bars Paris Films au cin ma Meilleur album Th tres Paris Musique lectroLes sites du GroupeTélérama.fr Talents.fr Le Huffington Post CourrierInternational.com Monde-Diplomatique.fr Les Rencontres professionnelles Le Monde La Société des lecteurs du Monde Le Prix Le Monde de la rechercheCamille : le travail de la voix, du corps, du souffle
Le MondeTélérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Courrier international La Vie au Jardin S'abonner au Monde àpartir de 1 € Services Le Monde Camille : le travail de la voix, du corps, du souffleLe Monde| 18.04.2008 11h08 Mis à jour le18.04.2008 11h29Par Véronique Mortaigne - Bourges, envoyée spécialeLoin de l'agitation festivalière, Camille s'est repliée pour trois soirs au petit Théâtre Jacques Cœur de Bourges, salle circulaire, à l'italienne, pour transposer son tout nouvel album Music Hole, essentiellement basé sur le travail de la voix, du corps, http://www.saclongchampppascher.fr - sac longchamps pas cher , du souffle. Avec un piano, des danseurs, des choristes, des experts en clapping (les battements de mains), en "human beat box" (les bruits de la bouche), elle revisite les chansons du Fil, l'album précédent, et enrichit les nouvelles. Créé à l'occasion du Printemps de Bourges, ce nouveau spectacle est une révolution orange, couleur des lumières et du costume dont se vêt et dévêt la jeune et audacieuse chanteuse. La technique corporelle n'est pas une nouveauté, mais Camille la transpose à la chanson, ce qui n'est pas commun. Du rap, très amateur du genre, aux musiques traditionnelles, le recours au seul corps humain pour produire des sons est une constante, http://www.poloralphlaureenpascher.fr - polo ralph lauren usa . Venu du collectif Saïan Supa Crew, Sly, l'un des deux "human box" qui accompagne Camille, http://www.saclongchampppascher.fr - sac a main longchamp , en connaît un rayon sur l'art d'imiter des lignes de ba
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