es proches le poussaient à se présenter, il estimait qu'il était trop jeune, et après coup, il dit qu'il a à ce moment perdu au moins une dizaine d'années, http://www.burberryipascher.fr/ - polos burberry pas cher .Régulièrement, en effet, on s'interroge sur la volonté de Le Pen d'accéder réellement au pouvoir. Ses opposants au sein de son parti soutiennent en effet qu'il n'a jamais véritablement voulu accéder au pouvoir. Borguy : Pensez-vous que Philippe de Villiers puisse faire une offre de partenariat avec un FN post-lepéniste ? Christiane Chombeau : Bien malin celui qui sait ce qu'il y a actuellement dans la tête de Villiers. Va-t-il revenir dans le giron de la droite ou patienter jusqu'au moment où Le Pen va prendre sa retraite, et à ce moment-là, participer à une recomposition de cette frange de la droite extrême, ou tout simplement essayer de vampiriser l'électorat frontiste ? Cinephage75 : Pensez-vous que l'après-Le Pen verra une scission de l'extrême droite ? Christiane Chombeau : Ce qui se passe actuellement au FN, c'est qu'il n'y a aucun leader incontesté et incontestable. Bruno Gollnisch a beaucoup déçu ses proches ; Marine Le Pen, si elle a une aura auprès de la base, a toujours une forte opposition parmi les cadres. Cela dit, on voit difficilement comment le FN de demain ne tiendra pas compte de sa présence. Certains soutiennent qu'il faudrait en fait que ce soit une petite équipe qui reprenne le FN. Mais il est encore trop tôt pour dire ce qui pourra se passer. JVR : Pensez-vous que Bruno Mégret est en mesure de prendre la tête du FN ? Christiane Chombeau : Certainement pas. Aujourd'hui, certainement pas. On a vu, que ce soit parmi les cadres ou parmi les militants, que beaucoup lui reprochent toujours la scission de 1998-1999. Si certains sont prêts à un rapprochement ou des accords avec lui, ils ne sont pas dans la démarche d'en faire leur leader. Ebij : Peut-on vraiment se réjouir de la contre-performance du FN puisque nombre des thèmes portant son électorat ont été repris par le candidat UMP ? En risquant d'en élargir l'audience et de les banaliser, http://www.sacilongchamppascher.fr - sac longchamps pas cher . Christiane Chombeau : C'est vrai qu'on peut se réjouir de l'affaiblissement du FN. Mais malheureusement, cet affaiblissement se fait au prix d'une reprise de ses thèmes favoris par le candidat de l'UMP. Et à quoi servirait d'avoir un FN réduit si c'est pour voir finalement ses idées mises en place par un autre candidat ? Thomas : Finalement, ne pensez-vous pas que le ras-le-bol général du clivage droite-gauche soit porté désormais par M. Bayrou à la place de M. Le Pen ? Christiane Chombeau : Il est certain qu'une partie de l'électorat du FN a voté Bayrou parce qu'il ne voulait pas l'élection de Sarkozy. C'est donc le "tout sauf Sarkozy" qui a joué en faveur de Bayrou dans cette partie de l'électorat qui, tirant les leçons de l'entre-deux tours de 2002, savait que Le Pen n'avait aucune chance d'être un jour élu. Bayrou a donc bénéficié d'un vote utile dès le premier tour de la part de cet électorat frontiste. Autrement dit, http://www.burberryipascher.fr/ - chemisier burberry , des électeurs du F
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