telligents et rompus aux rapports de force paraissent depuis six mois avoir manqué de ce sens politique qui a fait leur pouvoir. Quelques mois avant le décès de Richard Descoings, la Cour des comptes avait commencé un audit sur la gestion de Sciences Po, http://www.sachermespascherhermes.com - sacshermespascher , épluchant minutieusement tous les dossiers financiers, http://www.sachermespascherhermes.com - sac hermes kelly crocodile . La mort du directeur n'a pas interrompu l'enquête des magistrats. Mais Jean-Claude Casanova et Michel Pébereau ont longtemps cru pouvoir s'en abstraire.Quelques semaines après l'enterrement de Richard Descoings, ils lancent un appel à candidatures. Et créent, sans concertation, un comité ad hoc chargé de sélectionner le nouveau patron de Sciences Po. Sans doute pensent-ils que le conseil d'administration avalisera sans difficulté la nomination définitive de celui qu'ils ont déjà choisi comme administrateur provisoire, Hervé Crès, le second de Descoings. Après tout, fait valoir le politologue Olivier Duhamel, membre du conseil d'administration de la FNSP, "les directeurs de Sciences Po ont tous été choisis jusque-là par une ou deux personnes : le président en poste et le président de la Fondation. C'était un choix monocratique et sans la moindre compétition !"Michel Pébereau et Jean-Claude Casanova ont toujours régné sans difficulté sur un conseil qui avalisait jusqu'ici les propositions de la direction. Dans le conseil d'administration de l'IEP de la rue Saint-Guillaume siègent des inspecteurs des finances de renom, dont Henri de Castries, Jean-Pierre Jouyet et Louis Schweitzer, et des membres du Conseil d'Etat, dont le vice-président lui-même, Jean-Marc Sauvé. Jamais leur solidarité n'a jusqu'ici été prise en défaut. Plusieurs d'entre eux Louis Schweitzer, Hélène Gisserot, procureur général honoraire près la Cour des comptes, et Jean-Marc Sauvé figuraient d'ailleurs dans le comité des rémunérations qui a avalisé les fameuses primes, sans rédiger aucun compte-rendu."ENTREGENT ET PASSE-DROITS"Seulement voilà, le prérapport de la Cour des comptes, révélé début octobre par Le Monde, est catastrophique. "Insultant", reconnaît lui-même Jean-Claude Casanova. Et l'Etat a décidé de s'en mêler. Le 3 septembre, Geneviève Fioraso exige dans une lettre que la direction attende le rapport définitif pour proposer un nom. L'entrevue entre le duo de Sciences Po et la ministre de l'enseignement supérieur est tendue. Le cabinet de la ministre comprend peu de membres des grands corps de l'Etat, et les patrons de Sciences Po n'y ont pas trouvé leurs connexions habituelles. Mais les deux hommes ont cru bon de rappeler que bon nombre de membres du gouvernement et le président de la République lui-même sont d'anciens diplômés ou d'anciens professeurs de l'école. Elle n'en est pas.Plus agaçant encore, elle a le sentiment que Michel Pébereau la toise et répond presque systématiquement à la place de Jean-Claude Casanova, http://www.sachermespascherhermes.com - sac hermes birkin bicolore . "Vous ne devriez pas vous laisser faire comme cela", lance-t-elle à ce dernier. Le banquier lâche avec hauteur que "dans le privé, aucune ent
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