ments -, est « dans une situation difficile », a indiqué Eric de Labarre. « Nos difficultés de trésorerie existent depuis longtemps, mais se sont aggravées de façon très nette ces dernières années », a-t-il précisé. Insuffisance du financement publicEn cause, selon lui, une « insuffisance du financement public » et des forfaits (ou subventions) d’Etat et de collectivités locales « sous évalués » par rapport aux besoins. Conséquences : une augmentation de la contribution demandée aux familles (+ 6,9 % entre 2010 et 2011) et la mise en péril de certains établissements. C’est la triste histoire du collège historique de Juilly (Seine-et-Marne), fondé en 1638, qui a fermé ses portes en juillet, l'association de gestion ayant été liquidée.Sous pression, une partie des établissements ont également tendance à geler leurs investissements. Ainsi, http://www.sachermespascherhermes.com - sac hermes pas cher noir , rapporte le secrétaire général de l’enseignement catholique, « nous sommes dans l’impossibilité de mener des travaux d’accessibilité de nos locaux pour les personnes handicapées ». Cette « accessibilité » est pourtant devenue une obligation prévue dans la loi de 2005 sur le handicap. 4 713 élèves de plusConcernant les effectifs, l’enseignement catholique attire de plus en plus d’élèves. Il en compte 4 713 de plus cette année. Une progression toutefois nettement moins forte que l’an dernier (+12 000 élèves à la rentrée 2011). L’augmentation du nombre d’élève repose sur les collèges et les lycées, qui comptent 7 593 élèves de plus. Les écoles primaires, elles, en perdent 1 918, et l’enseignement agricole privé, 962. Globalement, les établissements catholiques ne parviennent toujours pas à absorber toutes les demandes d’inscription (près de 40 000 demandes non satisfaites). Aurélie Collas Subventionner les écoles catholiques c est déjà ÉNORME ( et n oublions pas cette monstruosité qu est la loi Carles qui fait obligation aux municipalités de financer les études dans une école confessionnelle d une autre localité si la ville n en est pas pourvue). Il y a une école de la République et elle accueille, elle, tout le monde. Ceux ou celles qui ont peur de mélanger leurs chers bambins avec des Kévin ou des Jordan voire des Mohamed n ont qu à assumer financièrement. Non, http://www.sachermespascherhermes.com - clé et cadena hermes replica . C est normal. Juste une question de liberté : celle du choix de l enseignement pour le plus grand nombre, et ce n est pas rien.Pour vous rassurer concernant les financements, ce sont aussi les impôts des gens qui mettent leurs enfants dans lés écoles privées qui financent TOUTE l école, http://www.sachermespascherhermes.com - replique sac hermes , publiques et privées. Non, ça n a rien de normal. La liberté a un coût, ne vous en déplaise.La République laïque a son école, ceux qui ne veulent pas de son enseignement n ont qu à l assumer. Point.Je n ai pas à participer, en tant que citoyen contribuant à l investissement PUBLIC (et donc pour tous mes concitoyens), au financement des établissements privés, a fortiori lorsqu ils sont de nature confessionnelle dans un pays
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