tice et paix ou les interventions de la communauté catholique Sant'Egidio dans des médiations, plus ou moins réussies, entre les protagonistes de conflits locaux (Mozambique, région des Grands Lacs) sont reconnus au-delà des cercles catholiques. Un dossier récent illustre cette implication dans la vie politique : lors de l'élection présidentielle au Sénégal, dont le second tour est prévu le 25 mars, http://www.sachermespascherhermes.com - attache sac hermes echangeable , la commission Justice et paix du pays a appelé à un "vote sans violence et sans corruption", proposant des "actions de réflexion et d'information". Et l'épiscopat va, comme au premier tour, placer près de 1 000 observateurs dans les bureaux de vote."Mais c'est aussi dans les organismes internationaux que se déploie toute l'activité diplomatique du Vatican", souligne le diplomate. Présent à titre d'observateur ou de membre à part entière, le Vatican défend les valeurs de l'Eglise catholique dans les cénacles onusiens ou européens, de même que dans les grandes conférences internationales sur le désarmement, la démographie, les femmes et, tout récemment, sur l'eau, où il noue parfois des alliances avec les autres religions.Le lobbying assumé du Vatican dans ces instances met l'accent, à sa manière, sur des thèmes particuliers : liberté religieuse, mais aussi et surtout questions morales ou bioéthiques, telles que la lutte contre l'avortement, l'euthanasie, http://www.sachermespascherhermes.com - imitation birkin hermes pas cher , l'utilisation des cellules souches embryonnaires, le mariage homosexuel, le sida, le discours sur la reproduction ou la théorie du genre. Le repli sur ces sujets, observé par certains diplomates, tendrait aussi à rétrécir son audience.Christel Oudin, l'oubliée des crimes de l'A26 édition abonnéChristel Oudin, l'oubliée des crimes de l'A26Le Monde| 17.03.2012 à 13h31• Mis à jour le17.03.2012 à 13h31Par Patricia Jolly - Saint-Quentin (Aisne) Envoyée spéciale Leur livret de famille certifie que Christel - la benjamine de leurs trois filles - est morte à 13 ans et demi, le 17 novembre 1985, mais Jean-Pierre et Lydie Oudin, 65 ans, refusent d'accepter cette mention comme un point final à son dramatique destin. Vingt-cinq après, ils se battent pour que la justice se donne enfin les moyens de percer le mystère des crimes de l'A26, dont leur fille est une des principales victimes.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1 / mois | Découvrez l'édition abonnésAu tribunal de Laon, un juge vient d'être nommé pour reprendre l'instruction du dossier Sophie Borca, disparue à 16 ans et retrouvée morte à la même période et dans la même zone géographique que Christel. Les Oudin n'ont pas eu droit au même traitement : la justice refuse de rouvrir leur dossier au motif de la prescription qui intervient lorsqu'aucun acte de procédure n'a été effectué depuis plus de dix ans, http://www.sachermespascherhermes.com - sac picotin hermès .Le 17 novembre 1985, Christel, qui passait le week-end chez ses grands
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