.Car, même si les partenariats public-privé ont fait leur entrée dans le paysage pénitentiaire, l'Etat en a toujours été à l'initiative, explique le secrétaire national du SNDP, Jean-Michel Dejenne. "Là, la logique est inversée, c'est une première", s'offusque-t-il. Et c'est d'autant plus étonnant qu'il y a, d'après lui, peu de réponses publiques pour donner les moyens de réinsérer les dizaines de milliers de personnes qui attendent de l'être en France. Bref, nous voici en présence d'un "projet un peu incongru, opaque, mené avec des fondations d'entreprises du fait des liens personnels entre M. Botton et certains milieux économiques, et aussi grâce à ses liens avec Nicolas Sarkozy. C'est un objet pénitentiaire non identifié." Angela Bolis - Saint-Julien-sur-Suran, envoyée spéciale,Fusillade à Montauban : "Tout est allé très vite, un vrai guet-apens" Fusillade à Montauban : "Tout est allé très vite, un vrai guet-apens"Le Monde| 16.03.2012 à 12h00• Mis à jour le16.03.2012 à 12h02 La presse régionale revient vendredi 16 mars sur la fusillade qui a visé trois militaires du 17e régiment du génie parachutiste (RGP) jeudi 15 mars, devant leur caserne de Montauban (Tarn-et-Garonne), http://www.sachermespascherhermes.com - sac hermes birkin rouge . La Dépêche du Midi a retrouvé des témoins de la tuerie. Tous parlent d'une scène "d'une rare violence".Monique, une infirmière en psychiatrie, accompagnait alors un patient au distributeur bancaire et au tabac. Restée au volant de sa voiture, elle a tout vu : "Les trois jeunes militaires arrivaient devant le distributeur. (...) Quand j'ai entendu les premières déflagrations, j'ai cru qu'ils s'amusaient. Très vite, http://www.sachermespascherhermes.com - vis du sac hermes herbag manquante , j'ai vu cet homme avec un casque noir qui leur tirait dessus. Il a tiré à plusieurs reprises sur un premier militaire, puis sur un second. Le troisième, qui retirait de l'argent, a tenté de se sauver. Mais il est tombé lui aussi, quasiment devant mes yeux. Le tireur ne visait que les militaires. Et leurs têtes. J'étais à coté, il aurait pu aussi me tuer. Il est reparti vers son scooter et s'est enfui vers le centre-ville. C'est quelqu'un de jeune, je pense, de trapu. Il a tiré une quinzaine de coups de feu au moins.""ABATTU COMME UN ANIMAL""Je vois encore les flammes sortir du canon. Il a abattu le dernier militaire comme un animal. On se demande tous si on n'a pas vécu un cauchemar", raconte Michèle Lafon, l'employée du bureau de tabac. Employée de mairie, Carole Leblanc confirme aussi que "tout est allé très vite dans cette tuerie, http://www.sachermespascherhermes.com - bracelet hermes or jaune . On a l'impression qu'il attendait les militaires. Un vrai guet-apens. Aux premières détonations, quelqu'un nous a crié : 'les filles, cachez-vous, cachez-vous'. J'ai plongé sous le rayon des magazines dans le bureau de presse-tabac. je ne savais plus où me mettre."Dans un reportage, France 3 Midi-Pyrénées parle "d'une exécution aussi sommaire que brutale" et donne la parole à un homme arrivé sur les lieux cinq minutes après le drame. "J'ai vu deux hommes à terre, et sur l'un, une person
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