dans la raffinerie, ce salarié se retrouve pour la première fois au chômage. Et il ne croit plus à un possible repreneur, "ce serait miraculeux". Alexandre, 33 ans, est "sous le choc". Lui non plus n'est pas très optimiste face à une reprise par un autre groupe "Il faudrait que tout le dossier du repreneur soit complet donc cela me paraît impossible". "On savait que la situation était délicate, mais on ne s'attendait pas à une réponse aussi rapide, http://www.saclongchamppaslcher.com - les sacs pliables de longchamp soldes , dit-il. On pensait que l'on allait s'en sortir". "UN CLIMAT DE HAINE PAR RAPPORT À SHELL"Fondée en 1929 sur les bords de la Seine, revendue par Shell à Petroplus en 2008, cette raffinerie a été placée en redressement judiciaire en janvier à la suite de la faillite de sa maison mère suisse.Pour Alexandre, "l'administration française, les syndicats et la direction de Petroplus ont fait leur travail", http://www.saclongchamppaslcher.com - longchamp pas . Mais aujourd'hui les salariés sont unanimes sur un point "Il règne un climat de haine par rapport à Shell. On est tous d'accord pour dire que cette liquidation a été orchestrée depuis longtemps". Après onze années à Petroplus, http://www.saclongchamppaslcher.com - site: www.saclongchampspliagesoldes.com , il "espère maintenant être aidé moralement et financièrement". Lire le post de blog A Petroplus, cette 'révolte qui bouillonne dans le ventre des salariés'LE GOUVERNEMENT "POURSUIVRA SES EFFORTS" Le gouvernement a assuré mardi qu'il "poursuivra ses efforts" en vue d'une reprise de la raffinerie et se dit prêt à recevoir l'intersyndicale et les élus du site. Les services du ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, soulignent que le gouvernement "s'est constamment employé à faciliter les offres de reprise et à lever les obstacles administratifs" mais ajoutent que "le tribunal a estimé que l'offre de Netoil n'apportait pas les garanties nécessaires pour la continuité de l'activité et le maintien des droits des salariés".Selon le communiqué, "parallèlement aux efforts pour la recherche d'un repreneur", le premier ministre Jean-Marc Ayrault a demandé à M. Montebourg et au ministre du travail Michel Sapin "de travailler conjointement au repositionnement industriel de Petit-Couronne avec l'ensemble des acteurs de la filière pétrolière et d'apporter des solutions d'avenir aux salariés de ce site".MAUREL VEUT "NATIONALISER" LA RAFFINERIE L'élu socialiste Emmanuel Maurel, candidat au poste de premier secrétaire du PS face à Harlem Désir, a, lui, demandé à l'Etat de "nationaliser" la raffinerie Petroplus. "L'Etat ne doit pas laisser fermer la raffinerie Petroplus", écrit-il dans un communiqué, estimant que "le sauvetage de l'aciérie de Florange, le maintien de l'activité à Petit-Couronne constituent deux symboles majeurs de la volonté de résister à l'hémorragie industrielle du pays"."Il est donc indispensable que l'Etat intervienne directement à partir du moment où aucune reprise n'a été retenue", affirme-t-il, ajoutant "Il convient (...) de procéder à la nationalisation de cette raffinerie qui ne doit pas coûter très cher au regard de sa fermeture annoncée".Le PartiRelated articles:
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